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[FUN] La' che^'t, re^~ chu+a che^'t (was: Dalida)
Hi ca'c ba'c va` thi'm Ha` Du+o+ng,
Nha^n ma^'y tua^`n truo'c co' nho+` O Ha.nh decode cho 1 ddoa.n les
feuilles mortes, sau ddo' tui search la.i tre^n net ti`m ra
ddu+o+.c ba?n nha.i nha.c khi? gio' "la' che^'t nhu+ng re^~ chu+a
che^'t". Ddo+.i Yves Montand ha't xong 1 ca^u ro^`i nha.i tie^'p
1 ca^u. Trong ddi~a tui co', Yves chi? ha't ddoa.n dda^`u trong
lo+`i duo'i dda^y. Version cu?a E.Piaf ha't chen ca? tie^'ng anh
(va` gio.ng cu?a Edith thi` kho^ng "tout doucement").
> a^'y co' Brel ha't ra^'t ca?m ddo^.ng (ca'c ba'c ma` xem o^ng na`y ha't
> "Ne me quittes pas", cha('c cu~ng muo^'n kho'c luo^n)
>
Ha` Du+o+ng cha('c ddang co' ta^m tra.ng ro^`i :-).
M.Mathieu cu~ng ha't "ne me quitte pas!", nhu+ng cha('c la` cho ca'c ba'c
trai kho'c (vi` tui tha^'y M.M ha't de^~ thuong ho+n J.Brel :-)
A+
PS: Thi'm Ha` Du+o+ng nho+' che'p ba`i Avec le temps nhe'. Tui decode
thuo`ng sai he^'t.
Les racines vives Les feuilles mortes
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Ah! tu abhorres un peu que Oh! Je voudrais tant que tu
moi j'oublie te souviennes
les nuits merdeuses ou nous des jours hereux ou nous
étions rivaux. étions amis.
Dans ce lieu - ci la mort En ce temps - là la vie
était moins moche était plus belle
et la tempete moins congelée et le soleil plus brulant
qu'antan. qu'aujourd'hui.
Les racines vives se Les feuilles mortes se
repandent au râteau: ramassent à la pelle,
J'ignore, tu n'as pas su par Tu vois, je n'ai pas
coeur... oublié...
Les racines vives se Les feuilles mortes se
repandent au râteau: ramassent à la pelle,
Les distractions et les Les souvenirs et les regrets
plaisirs bien plus, aussi,
et la calme du Sud les et le vent du Nord les
enferme emporte
Hors du jour chaud du dans la nuit froide de
souvenir: l'oubli:
J'ignore, tu n'as pas su par Tu vois, je n'ai pas
coeur... oublié...
La leçon que je te criais. La chanson que tu me
chantais.
C'est une leçon qui vous C'est une chanson qui nous
déforme; ressemble;
je t'abhorrais, tu Toi, tu m'amais et je
m'abhorrais. t'amais.
Vous décédez bies séparée, Nous vivions tous les deux
ensemble,
je t'abhorrais, tu Toi qui m'amais, moi qui
m'abhorrais. t'amais.
Car mort unit ceux qui mais la vie sépare ceux qui
s'abhorrent, s'aiment,
améremont, sans dire tout doucement, sans faire
"silence!", du bruit,
et a la plage inscrit sous et a la mer efface sur le
le roc sable
les saut des ennemis unis. les pas des amants désunis.
Les racines vives se Les feuilles mortes se
repandent au râteau: ramassent à la pelle,
Les distractions et les Les souvenirs et les regrets
plaisirs bien plus, aussi,
car ton aigreur fracassante mais mon amour silencieux et
et putain fidèle
grimace parfois et insulte a sourit toujours et remercie
la mort. la vie.
Tu m'abhorrais, j'etais si Je t'aimais tant, tu étais
vilain, si jolie,
Comment puis - je, moi, me Comment vous - tu que je
souvenir? t'oublie?
Dans ce lieu - ci la mort En ce temps - là la vie
était moins moche était plus belle
et la tempete moins congelée et le soleil plus brulant
qu'antan. qu'aujourd'hui.
J'étais ton plus amer Tu étais ma plus douce
ennemi... amie...
Car tu n'as que dire des mais je n'ai que faire des
plaisirs, regrets,
Et la leçon que je criais Et la chanson que tu
chantais
Jamais, Jamais tu ne diras! Toujours, Toujours je
l'entendrai!
C'est une leçon qui vous C'est une chanson qui nous
déforme; ressemble;
......